Deniz polisinden Adalar çevresinde 'deniz taksi' denetimi

Les investisseurs ont examiné en détail les efforts de l’administration Trump pour parvenir à un accord de paix entre la Russie et l’Ukraine, ce qui a entraîné une tendance baissière sur le marché. Les contrats à terme Brent pour janvier ont chuté de 1,29 %, clôturant à 62,56 dollars le baril. Lors de la séance précédente, ils avaient déjà reculé de 0,2 %.

Les contrats à terme WTI pour janvier ont baissé de 1,59 % à 58,06 dollars le baril, après une baisse de 0,5 % jeudi. L’indice européen Stoxx Oil & Gas a reculé de plus de 2,4 %.

Les actions de Shell et BP au Royaume-Uni ont perdu 1,4 %. L’entreprise norvégienne Equinor a chuté de 2,3 %, tandis que Siemens Energy en Allemagne a enregistré une baisse proche de 8 %. Les géants américains Exxon Mobil et Chevron ont terminé la séance de vendredi en recul respectivement de 1,1 % et 0,6 %.

Selon le plan largement divulgué, les États-Unis proposeraient que l’Ukraine renonce à plusieurs territoires, dont la Crimée, Louhansk et Donetsk, et qu’elle s’engage à ne jamais rejoindre l’alliance militaire de l’OTAN. Le plan prévoit également que Kiev obtienne des garanties de sécurité « fiables » et que les forces armées ukrainiennes soient limitées à 600 000 soldats. Les analystes doutent que l’Ukraine accepte un plan considéré comme avantageux pour la Russie.

En parallèle des discussions sur le plan de paix, les acteurs du marché de l’énergie se sont concentrés sur l’impact des sanctions américaines contre les producteurs russes de pétrole Rosneft et Lukoil, sur le renforcement du dollar américain et sur les attentes concernant la prochaine décision de la Réserve fédérale américaine sur les taux d’intérêt.

Hibya Haber AjansıFrance News Agency

 

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