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Le président Silva a affirmé qu’un nouveau modèle économique doit émerger du G20, ajoutant : « Le G20 est un acteur clé dans la préparation d’une feuille de route pour éloigner le monde des combustibles fossiles. »

En soulignant que le renforcement des capacités de prévention et de réponse aux catastrophes est une question de « vie ou de mort », Silva a déclaré :

« Les systèmes d’alerte précoce ne suffisent pas. Le climat mettra à l’épreuve nos ponts, nos autoroutes, nos bâtiments et nos lignes de transmission. La gestion de l’eau, la production alimentaire et énergétique exigeront des méthodes plus efficaces. Des milliers de personnes et d’entreprises seront contraintes de chercher des zones plus sûres pour vivre et travailler. »

Silva a indiqué que les ‘Principes volontaires d’investissement dans la réduction des risques de catastrophe’, approuvés sous la présidence sud-africaine, soulignent le besoin de financements à long terme, avant d’ajouter : « Construire la résilience n’est pas une dépense, mais un investissement. Chaque dollar investi permet d’éviter quatre dollars de pertes et génère d’autres bénéfices sociaux et économiques. Mais un monde résilient ne peut pas être construit uniquement sur l’infrastructure. »