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Le ministre Fraser a déclaré que ces modifications visent à offrir une meilleure protection aux intervenants de première ligne.

Il a souligné qu’il est difficile de demander à quelqu’un d’entrer dans un bâtiment en feu ou de sauver une personne dont le cœur s’est arrêté, et a ajouté que les secouristes ne devraient pas être exposés à la violence dans l’exercice de leurs fonctions.

« Ceux qui nous protègent ont également besoin d’être protégés. C’est pourquoi nous imposons des peines plus sévères à ceux qui commettent des crimes contre les intervenants d’urgence en service », a déclaré Fraser.

Il a ajouté : « Les bonnes idées ne naissent pas derrière des portes closes, mais des conversations avec les gens sur le terrain. Je remercie le ministre Wiebe et le maire Gillingham pour leur collaboration à la mise en œuvre de ce changement important. »