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Ghebreyesus a indiqué que l’augmentation de l’espérance de vie mondiale et la baisse de la mortalité maternelle et infantile ces vingt dernières années ont progressé parallèlement à la transition de nombreux pays à faible revenu vers la catégorie des pays à revenu intermédiaire.

Soulignant qu’il ne s’agit pas d’une coïncidence, il a déclaré : « Les investissements dans la santé sont des investissements dans le capital humain et la croissance économique. »

Salvant les dirigeants du G20 pour leurs efforts visant à renforcer la sécurité sanitaire nationale et mondiale, il a appelé à davantage d’actions pour protéger et améliorer la santé. « La crise mondiale du financement de la santé est une crise du développement et de la croissance économique. Mais elle offre aussi une opportunité pour les pays de passer de la dépendance à l’aide à une ère de souveraineté et d’autosuffisance », a-t-il affirmé.

Ghebreyesus a ajouté que l’OMS soutenait les pays dans cette transition et a appelé le G20 à fournir l’appui nécessaire conformément à l’Agenda de Lusaka, avant de conclure : « La solidarité est notre meilleure immunité. »