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Lazzarini a indiqué que la famine provoquée par l’homme à Gaza est en grande partie due aux tentatives délibérées de remplacer le système humanitaire coordonné par l’ONU par une structure politiquement motivée appelée « GHF ».

Il a qualifié cela de « prétendu système d’aide » responsable de la mort d’environ 1 499 personnes affamées, ajoutant : « La situation s’est aggravée lorsque l’UNRWA, colonne vertébrale de l’aide humanitaire, a été empêchée depuis 5 mois (depuis le 2 mars) de fournir une aide à Gaza. »

Lazzarini a souligné que l’affaiblissement et l’exclusion de l’UNRWA n’avaient aucun lien avec les accusations de détournement d’aide vers des groupes armés, et a déclaré :

« C’est une mesure délibérée de pression collective et de punition des Palestiniens pour leur simple présence à Gaza. Il n’y a plus de temps à perdre – une décision politique est nécessaire pour ouvrir les passages sans conditions. L’UNRWA dispose de l’expérience, du personnel et des ressources pour contribuer pleinement à inverser la situation de famine. »