Deniz polisinden Adalar çevresinde 'deniz taksi' denetimi

La décision du Département d’État d’imposer des sanctions à Francesca Albanese, rapporteuse spéciale pour la Cisjordanie et Gaza, intervient après l’échec d’une campagne de pression visant à contraindre l’organisation internationale à la démettre de ses fonctions.

Avocate spécialisée en droits de l’homme, Albanese a appelé à mettre fin à ce qu’elle qualifie de « génocide » contre les Palestiniens à Gaza. Israël et son allié militaire les États-Unis ont vigoureusement rejeté cette accusation.

Israël est accusé de génocide devant la Cour internationale de justice et de crimes de guerre devant la Cour pénale internationale en raison de son offensive militaire dévastatrice à Gaza. La position d’Albanese est soutenue par des chercheurs de renom sur le génocide et des ONG de défense des droits humains.

Dans un message publié mercredi soir sur X, Albanese a écrit, sans mentionner directement les sanctions américaines, qu’elle se tient « toujours fermement et avec conviction du côté de la justice ». Elle a qualifié cette décision des États-Unis de « technique d’intimidation de style mafieux » dans un message à Al Jazeera.

Ces dernières semaines, Albanese a publié plusieurs lettres appelant d’autres pays à faire pression sur Israël – y compris via des sanctions – pour qu’il cesse ses bombardements meurtriers sur Gaza.

Citoyenne italienne, Albanese soutient aussi fortement l’ouverture de poursuites contre des responsables israéliens, y compris le Premier ministre Benjamin Netanyahou, devant la Cour pénale internationale. Elle a récemment publié un rapport dans lequel elle cite plusieurs grandes entreprises américaines qu’elle accuse de soutenir l’occupation et la guerre israéliennes à Gaza.

Hibya Haber AjansıFrance News Agency

 

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