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Cependant, le FBI et plusieurs autres agences de sécurité nationale, y compris certains départements fédéraux, ont conseillé aux employés de ne pas répondre immédiatement à l’e-mail, suggérant que le pouvoir exécutif n'était pas informé de la demande ou n'était pas prêt à y répondre.

L'e-mail a été envoyé à partir d'une nouvelle adresse RH du Bureau de la gestion du personnel, mais n'était pas signé. L'objet du message était : « Qu'avez-vous fait la semaine dernière ? »

Le contenu précisait : « Veuillez répondre à cet e-mail en énumérant environ 5 points sur ce que vous avez accompli la semaine dernière et mettre votre supérieur en copie. Merci de ne pas envoyer d'informations confidentielles, de liens ou de pièces jointes. »

CNN a obtenu des copies des e-mails envoyés aux employés fédéraux dans plusieurs agences. Beaucoup d'entre eux ont été envoyés avec une priorité élevée ou accompagnés d'un point d'exclamation rouge.

La vague d’e-mails est survenue immédiatement après un post de Musk sur les réseaux sociaux menaçant les employés récalcitrants d’un licenciement.

Samedi sur X, quelques heures après que Trump a suggéré d'être plus « agressif », Musk a écrit : « Conformément aux instructions du président @realDonaldTrump, tous les employés fédéraux recevront bientôt un e-mail leur demandant d'expliquer ce qu'ils ont fait la semaine dernière. »

Cependant, l’e-mail lui-même ne précise pas que l'absence de réponse sera considérée comme une démission. La date limite pour répondre est fixée au lundi à 23h59 ET.