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Lors de la conversation, le conflit entre Israël et l'Iran ainsi que les questions régionales et mondiales ont été abordés.

Le président Erdoğan a déclaré qu’Israël sous le gouvernement Netanyahou représentait la plus grande menace pour la stabilité et la sécurité régionales, ce qu’il a de nouveau démontré avec l’attaque contre l’Iran, et qu’il fallait arrêter Israël pour faire baisser les tensions.

Erdoğan a souligné que le silence de la communauté internationale face à l’occupation et au génocide en Palestine avait poussé Israël à adopter ce comportement illégal et agressif. Il a ajouté que l’attaque contre l’Iran, à un moment où les négociations nucléaires entre les États-Unis et l’Iran se poursuivent, visait à saper les efforts de paix, et que ces attaques, ayant provoqué des fuites nucléaires, démontrent encore une fois la menace irresponsable qu’Israël fait peser sur la sécurité régionale et mondiale.

Le président Erdoğan a déclaré que la région ne pouvait pas supporter une nouvelle crise, qu’une guerre dévastatrice pourrait provoquer des vagues de migration irrégulière, et que le différend nucléaire ne pouvait être résolu que par la poursuite des négociations.