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Türk a souligné que la liberté, l’égalité et la justice sont les valeurs qui constituent la base des droits humains.

Il a ajouté que ces valeurs ne sont ni politiques ni idéologiques, mais correspondent à l’essence morale de l’être humain :

« Les droits humains sont des obligations juridiques, mais ils représentent bien plus. Or aujourd’hui, ils sont menacés. Des tendances inquiétantes démantèlent la structure protectrice du droit international et sapent la cohésion sociale. Les lois de la guerre, en vigueur depuis longtemps, sont ouvertement ignorées ; presque personne n’est tenu responsable. »

Türk a déclaré que le discours de haine et la discrimination à l’encontre des minorités éloignent encore davantage les gens : « Les inégalités s’approfondissent. Mais lorsque les droits humains sont menacés, ils sont aussi le remède dont nous avons besoin pour guérir notre monde fragmenté. »