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Lazzarini a déclaré qu'ils ont rencontré des personnes détenues par Israël et libérées par la suite au début de l'année. Il a dit:

"Ils nous ont parlé de mauvais traitements et de tortures, tels que privation de sommeil et de nourriture, refus d'utiliser les toilettes et obligation de porter des couches, menaces de nuire aux membres de la famille, harcèlement verbal et physique, coercition pour avouer et signer des documents dans une langue qu'ils ne comprennent pas. Parmi ces documents figuraient également ceux relatifs aux relations entre l'UNRWA et les groupes armés palestiniens."

Le Commissaire général de l'UNRWA, Lazzarini, a déclaré: " Ces violations du droit international des droits de l'homme et du droit humanitaire doivent être enquêtées et stoppées".